Archives du blogue

Capsules vidéos du SPVM sur la violence armée chez les jeunes

Le Service de Police de la Ville de Montréal a récemment publié une série de capsules vidéos dans le cadre de son programme de lutte contre la violence armée. Vous pouvez les visionner en cliquant ici.

La publication traite spécifiquement de l’impact de la violence armée chez les jeunes. Les thèmes abordés dans les vidéos sont la prévention, les conséquences humaines et légales, puis l’influence des réseaux sociaux.

On y retrouve également des liens vers les ressources ainsi que les partenaires communautaires et institutionnels qui soutiennent le SPVM. La section « Foire aux questions », quant à elle, offre plus de détails sur les démarches actuelles du SPVM dans la lutte contre la violence armée et les causes de celle-ci.

Bref, la lutte contre la violence armée demande non seulement un effort de la police, mais de toute la collectivité, alliant prévention et répression.

Bon visionnement!

Vulnérabilité suicidaire des jeunes contrevenants en centre de réadaptation : recommandations

En janvier dernier, nous faisions état du risque suicidaire accru chez les adolescents faisant l’objet d’une peine de garde, par rapport aux adolescents de la population générale. Dans un article intitulé Vulnérabilité suicidaire des contrevenants en centre de réadaptation : présentation d’un modèle explicatif, les auteurs tentent d’utiliser le modèle explicatif Cry of pain pour situer le processus de développement de la vulnérabilité suicidaire des jeunes contrevenants. Ce modèle « propose que les idées et comportements suicidaires résultent d’un processus qui comprend trois composantes: un sentiment de défaite, la perception d’être pris au piège et le désespoir ».

Rappel des facteurs de risque : la présence d’une pathologie, la consommation d’alcool et de drogues, le fait d’avoir été victime de maltraitance physique ou sexuelle, ainsi que la présence de certaines caractéristiques personnelles, telles que la difficulté de gestion des émotions, l’impulsivité, la tendance au passage à l’acte, l’irritabilité, la témérité et l’hostilité.

Bien que la peine de garde contribue à l’amplification du risque de conduites suicidaires, les auteurs estiment que la garde peut également être un facteur de protection. Ainsi, différentes recommandations concrètes sont mises de l’avant dans une optique de prévention :

  • Pour joindre la ligne de soutien de Suicide Action Montréal, composez le 1-866-277-3553 (1-866-APPELLE)
  • Pour joindre les intervenants professionnels de Tel-jeunes, composez le 1 800 263-2266, textez le 514 600-1002 ou rendez-vous sur teljeunes.com
  • Pour joindre Jeunesse, J’écoute, appelez le 1-800-668-6868 ou textez le 686868.